1 – Présentation de la chaine mémé l’indignée
Je me présente, je suis mémé l’indignée, indignée face aux pratiques et aux contrevérités des puissances de ce monde, prêtes à tout pour s’enrichir en appauvrissant la grande majorité de la population et en détruisant nature et espèces animales.
Je veux dénoncer leurs combines, qui leur permettent de cacher les véritables richesses créées dans les entreprises, pour se les accaparer et se les partager entre eux.
Je veux dénoncer leurs mensonges dont le seul but est de nous diviser, en jetant en pâture l’autre, le migrant, l’étranger, le sans emploi, le sans domicile, le malade…. qui sont, au contraire, leurs premières victimes.
Dans ma vie professionnelle passée, j’ai analysé bien des stratégies d’entreprise pour le compte des comités d’entreprise et sans aucune complaisance pour les patrons et alors ….ils m’ont un peu tapé dessus.
Mais je reviens avec plein d’histoires, des grandes, des petites, des scandaleuses des drôles, et des belles.
Ce sera l’histoire de Pierre Gattaz, qui avait promis 1 million d’emploi contre 20 milliards € de subventions publiques, mais qui n’en a pas créé un seul dans son entreprise et a utilisé cet argent public pour verser plus de dividendes à sa famille. Et aujourd’hui, il en veut encore plus !!!
Ce sera l’histoire de la famille Despature, devenue milliardaire en détruisant de la manière la plus cynique et odieuse des centaines d’emplois en France.
Ce sera aussi l’histoire de petites PME, comme cet Intermarché de 115 salariés, où le dirigeant a pu s’enrichir effrontément en peu de temps, ou encore celle de cette petite chaudronnerie, où le dirigeant s’est payé son avion personnel, aux frais non pas de la princesse, mais de l’entreprise.
Ce sera aussi l’histoire de cette subvention publique de 6 milliards d’euros, destinée à l’origine à inciter les entreprises à innover, et dont une grande partie termine dans les paradis fiscaux.
Je dénoncerai la mascarade des entreprises dites « libérées » …en fait, un nouveau mode de management, destiné à tirer encore plus de profit, par l’auto-exploitation des salariés.
Mais il y aura aussi quelques belles histoires, comme celle de cette entreprise métallurgique mise à la casse par un fonds de pension et ressuscitée par ses salariés, et celle d’une fabrique de glace, sauvée de la noyade par ses salariés.
Je rappellerai à notre Président sa première visite en 2014, alors qu’il était ministre de l’économie, une visite de 5 h à cette belle entreprise ACOME, une Scop octogénaire de plus de 1000 salariés, qui se porte très bien avec une moyenne des salaires élevée.
Les statuts de la SCOP protège l’entreprise du pillage des actionnaires.
Alors plutôt que de casser le code du travail, M. Macron, instituez un code du capital réglementant le pouvoir des actionnaires.
Pour terminer, je préciserai que toutes mes analyses sont justifiées et prouvées par des documents publics et incontestables.
Laisser un commentaire